16/02/2009
toi mon étreinte...
Douce lumière caressant
les aveux de notre coeur
où le silence brûlait
de nos gestes amoureux
Et le soleil et le soleil
glissant de tes lèvres
à mes yeux
souriait de ton regard heureux
Et dans le feu de notre étreinte
se dessinait...
à l'aube d'un chemin où vibre
chaque poussière de nous
.. Le firmament paisible de nos plus beaux voeux
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petit poème de nuit
Voici ce poème pour ne pas oublier, dans nos moments de doute et de tristesse, en cet hiver trop long et trop froid, qu'une bonne étoile veille sur nous et nous guide, à travers des vents trop forts ou trop faibles, dans un chemin de souffrance et de joie,vers un pays où nos rêves que l'on croyait éteints prennent source,un pays d'amour et de vérité qui ne demande qu'à éclore par nous en ce monde, le pays d'où l'on vient, où l'on retournera...car il est la Vie qui porte toute chose!
Je marchais,fatigué,seul
éloigné de la ville, sous les lumières éparses
d'un village endormi
et mon coeur emportait
avec l'ombre changeante
les débris d'un amour
que je croyais déchu.
Triste, et l' âme divisée
je n'espérais ni le jour
ni le sommeil et ses mirages
qui ne me consolaient plus
Marchant comme un pantin
dont les fils de chagrins
se nouaient dans ma tête
je voulais m'oublier
je n'étais plus qu'un songe
et le monde avec lui s'éteignait
mélancoliquement.
Près d'un arbre touffu, loin
d'un pâle réverbère
je levai mon regard
et m'arrêtai...
Le ciel, d'un bleu intense
brillait de mille étoiles
et leur scintillement serein
fit pleurer dans mon coeur
ce doux refrain d'enfance:
"As tu compté les étoiles
qui brillent dans le firmament?
Ce sont des millions d'âmes
que j'aime infiniment
Tout ce que j'ai crée
dans cette immensité
j'en connais l'humble histoire
et le suis pas à pas
j'en tire toute ma gloire
car moi je n'oublie pas."
...Un firmament de joie illumina mon coeur
Je reconnus l'étoile qui veille sur nos voeux
je tressaillis
le voile recouvrant nos aveux
s'effaça
ton regard m'apparut
plus doux que cette nuit
pur
comme au premier oui
Quand ton coeur est plus lourd qu'un ciel plombé d'hiver
Qunad ton coeur est plus sombre qu'une nuit de brouillard
n'oublie pas que nos coeurs ont le ciel en partage
que mes nuits étoilées sourient de ton visage
Et "s'il est vain d'aimer quand on est de passage"
saches que ton coeur étoilé
berce depuis toujours
mon âme-paysage.
13:44 Publié dans poésie | Lien permanent | Commentaires (0)